Interview d’Alain Engel de Partage Tanzanie

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Interview d’Alain Engel de Partage Tanzanie

Ce mercredi, nous organisons la soirée caritative «SALSA BISOME 2». Toutes les entrées seront reversées à l’association Partage Tanzanie. Alain Engel qui gère le pôle strasbourgeois de cette a…
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10/05/2015

Ce mercredi, nous organisons la soirée caritative «SALSA BISOME 2». Toutes les entrées seront reversées à l’association Partage Tanzanie. Alain Engel qui gère le pôle strasbourgeois de cette association a bien voulu jouer le jeu de l’interview pour vous expliquer ce qu’ils feront de tous ces dons. Il sera présent lors de la soirée. Si vous avez des questions, n’hésitez pas à venir le voir.

1-     Pouvez-vous présenter votre association brièvement ?

Notre association soutient depuis 22 ans un projet d’aide aux orphelins de la région de la Kagera, dans les domaines de la santé, de l’éducation, de la formation pour aider ces jeunes à devenir autonomes et à subvenir à leurs besoins et ceux de leurs familles.

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2-     Comment a commencé votre histoire avec la Tanzanie ?

Tout simplement en 1992 par un courrier me proposant de parrainer un orphelin de Tanzanie. Et après un an s’est imposée l’idée de se retrouver entre parrains et marraines de la région pour apporter un plus à notre parrainage par le soutien ponctuel de projets bien définis comme les moustiquaires, la réhabilitation de l’habitat ou des sources, la culture de la vanille, la construction d’un dispensaire ou la ferme-école et ainsi est née l’association Les Amis Alsaciens de Partage Tanzanie.

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3-     Nous organisons une soirée le 13 mai prochain pour récolter des fonds afin de vous soutenir, pouvez-vous nous dire à quel projet les « Amis Alsaciens » vont peut être contribuer ?

Nous avons en cours la mise en place et le fonctionnement de la Ferme-école qui permettra cette année à 22 jeunes d’être formés aux techniques de l’agriculture et de l’élevage afin de pouvoir s’occuper du « champ bas » et cultiver ainsi la parcelle de terre qui se trouve autour de leur hutte afin de subvenir à leurs besoins voire de commercer avec le surplus.

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4-     Est-ce qu’en Tanzanie, on danse la Salsa ?

Non. On trouve plutôt les danses tribales africaines.

5-     Que peut-on vous souhaiter pour l’avenir ?

Une continuité et une augmentation du nombre de parrains-marraines qui permettrait une pérennisation de nos actions en cours et celles à venir.

Merci Alain et bonne chance pour le suite !

El Astico

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